La nuit étendait son rideau sur la grande ville, dissimulant les contours des bâtiments marqué par un drap d’obscurité mouvante. Dans un foyers exigu, mis en haut au dernier étage d’un immeuble fatigué, Lazare observait le téléphone posé sur la table. Il n’était ni classique ni familial, un aisé machine https://andersonostrp.actoblog.com/34326661/les-résonances-du-calme-de-la-voyance-par-téléphone-audiotel-par-jolie-voyance