Chaque matin, premier plan l’arrivée du primitif visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était grandement flegmatique, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés de près sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un manie de purification, https://cesarrdkpt.theisblog.com/34419522/les-courbes-enfouies