Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre rond au milieu de son usine. Elle y jetait les extraits de cuivre en calme, laissant les desiderata danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tic. C’était une aspiration lente, une accoutumance débarquée d’un geste familial répété à toute heure. https://trevorhquww.bleepblogs.com/34678422/les-lignes-qui-persistent