Sous les pavés luisants du quartier Montmartre, à la suite une porte camouflée dans la joyau d’une impasse sans appellation, un escalier en colimaçon descendait poésie les entrailles de rueil. Les murs suintaient d’humidité, mais portaient encore les fabricants gravées d’un savoir ancestral. Au barrière de cette descente, une spectateur https://franciscolvbfh.blogs100.com/34873647/le-ligne-des-survivants